Génération Z et marché du travail : Que d’illusions, Sans préparation c’est la catastrophe garantie!
La Génération Z débarque sur le marché de l’emploi, armée de rêves démesurés et de propositions audacieuses. Mais elle est souvent totalement déconnectée des réalités du recrutement. Découvrez comment aligner ambitions et attentes pour enfin trouver le job de ses rêves (sans faire fuir les recruteurs).
Ah, les zoomers. Ces petits génies supposés du digital qui arrivent sur le marché de l’emploi avec des rêves XXL et des exigences qui feraient frémir Elon Musk. Mais le problème avec la Génération Z, c’est que, comme dirait le bon Dr Knock, s’ils refusent un traitement de choc, il ne restera plus qu’à envisager un pèlerinage et prier pour leur salut professionnel. Pourquoi ? Parce que l’état des lieux est, osons le dire, catastrophique pour la plupart d’entre eux. En raison de l’inadéquation totale aux attentes du marché et un marché de l’emploi morose, le combo est explosif.
Le grand malentendu entre les zoomers et le monde pro
Imaginez la scène : un recruteur accueille un jeune candidat pour un poste junior. À peine la poignée de main échangée, voilà que le candidat demande avec aplomb s’il peut travailler trois jours par semaine, exclusivement à distance, et bien sûr avec un salaire digne d’un cadre senior. Ambitieux, dites-vous ?
Et que dire de ces jeunes qui lèvent les yeux au ciel – voire se sentent carrément offensés – lorsqu’on ose leur demander de répondre à un mail… un vendredi après-midi, sacrifiant ainsi leur précieux « me-time ».
Mais le clou du spectacle ? Ces candidats qui débarquent à l’entretien d’embauche en grande pompe, accompagnés de leurs parents. Oui, leurs parents !!
Pourquoi cette déconnexion ? Parce qu’on leur a répété que le monde leur appartenait. Cependant, sans leur préciser que le dit monde nécessitait un peu de sueur et beaucoup d’humilité. Et là entre en scène l’effet Dunning-Kruger, ce biais cognitif pousse certains à se croire géniaux alors qu’ils ne maîtrisent même pas les bases. Résultat : des attentes démesurées, un gros crash avec la réalité, et des recruteurs qui se demandent si c’est eux ou les jeunes qui ont raté quelque chose.
Le chemin de la (re)connexion professionnelle
Ne désespérons pas. Même dans ce chaos, il y a des solutions. Chère Génération Z, si vous voulez intégrer ce marché de l’emploi hostile (parce que oui, il est rude, on ne vous mentira pas), voici une petite to-do list pour reprendre le contrôle :
- État des lieux, objectif et honnête : Faites le point sur ce que vous savez vraiment faire. Et non, “être fort sur Insta” ne compte pas comme une compétence professionnelle universelle.
- L’humilité, ce superpouvoir sous-côté : Vous arrivez dans un système avec des codes, des hiérarchies et des process. Alors, avant de vouloir tout disrupter, apprenez les règles du jeu. Une fois maîtrisées, vous pourrez les réinventer.
- Fixez-vous des attentes réalistes : Tout le monde veut un job épanouissant, bien payé, avec une belle mission. Mais ça se construit. Acceptez les étapes intermédiaires.
- Apprenez à recevoir (et demander) du feedback : Une critique n’est pas une attaque personnelle. Elle est là pour vous aider à progresser. Alors, respirez et écoutez.
- Faites-vous accompagner : Non, ce n’est pas de la triche. Coaching, mentors, ateliers existent pour vous aider à comprendre les codes du monde pro. Ces ressources peuvent transformer vos galères en opportunités.
Une conclusion pleine d’espoir (et de tafs, si vous êtes prêts à vous investir) !

La bonne nouvelle, c’est qu’avec un peu de recul et beaucoup d’efforts, le marché de l’emploi peut devenir votre terrain de jeu. Mais pour ça, il va falloir sortir de l’illusion et accepter de bosser dur. Et si le chemin vous paraît flou, n’hésitez pas à vous faire « bien » accompagner. Un bon conseiller carrière, une coach dynamique 😉, ou même un mentor chevronné peuvent transformer votre quête en victoire.
Alors, prêt(e) à échanger les stories pour des réussites professionnelles ? À vous de briller maintenant, Génération Z !